Ezechiel C. Milton
★Cruelty is mine★
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Date d'inscription : 25/06/2010
Localisation : On the Moon
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Maîtrise du pouvoir/de la capacité:
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 |  Sujet: Ezechiel C. Milton "vous cherchez le diable ? Ne cherchez plus, il est devant vous !  Ven 2 Juil - 22:51 | |
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©BESOMEBODYGRAPH
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« Il est bien peu de monstres qui méritent la peur que nous en avons » > nom : Milton
> prénom : Ezechiel Caleb
> pseudo : Satan
> âge : 750 ans, 23 ans
> date & lieu de naissance : 1270, Dublin
> nationalité : Irlandais
> situation amoureuse : Célibataire
> groupe : Vampire
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Le don d'Ezechiel est d'un sadisme sans précédent. Il peut torturer son ennemis par la pensée. Il lui inflige ainsi une douleur insoutenable physique et psychologique. C'est de là que lui vient son surnom. On l'appelle Satan. Il a aujourd'hui une telle maitrise de son pouvoir qu'il peut décider de la zone du corps à faire souffrir. Lorsque son ennemis souffre, Ezechiel, lui, atteint un plaisir digne d'un orgasme. C'est l'extase dans la souffrance d'autrui. Il prend son pied. Il en fait usage assez souvent, lors de combat bien évidemment et parfois juste pour s'amuser ou se distraire. Il a tendance à s'ennuyer assez rapidement et c'est toujours au frais des autres. Il aime ce don. Cela lui permet de tenir ses ennemis à distance. C'est l'une des raisons pour laquelle il est le bras droit de Nathanaël. Il est son plus fidèle compagnon et surtout celui qui donnerait sa vie pour le protéger. Lorsque ce pouvoir est utiliser trop longtemps sur la même personne, celle-ci en devient folle d'abord, puis en meurt si cela ne s'arrête toujours pas. Son caractère sadique le pousse le plus souvent à rendre dou plutôt que de tuer.
Sa deuxième capacité n'a rien d'un don, c'est en réalité une mutation. Les spectres l'ont rendu insensiblement au soleil. Il est le seul vampire à pouvoir sortir en plein jour sans brûler instantanément ni même se faire repérer. C'est une chance inouïe. Il en profite pour se mêler un peu aux humains, pour passer inaperçu, ne pas être soupçonné malgré son physique qui à tendance à le trahir parfois. Il va donc à l'université et se cultive en littérature.
A consulter : La liste des Pouvoirs
Ezechiel porte bien son nom. Que vous évoque ce nom honnêtement ? Quelque chose de diabolique n'est-ce pas ? Et bien Ezechiel est diabolique. C'est le genre de type qui ne parle pas beaucoup, qui est plutôt mystérieux et qui pourtant en impose. Il a un charisme fou. Le genre de personne que l'on écoute et à qui l'on ne manque pas de respect. Son aspect physique y est certainement pour beaucoup. En le voyant, en analysant sa démarche assuré et presque dansante on devine quelqu'un sûr de lui et surtout intelligent. On devine quelqu'un d'un tant soit peu arrogant également. Il dégage un certain flegme, une insolence qui peut en énervé certains, en amuser d'autres, en impressionner d'autres et en attirer certaines. De l'impertinence ? Oui il n'en manque pas. De l'orgueil ? Bien sûr !
Il dégage une grande aura de protection et de sécurité. Ses mais peuvent se sentir à l'abri à ses côtés, on ne peut pas en dire autant de ses ennemis.
C'est un sadique. Il prend un plaisir intense à torturer ses victimes, sauf lorsqu'il se nourrit, car on ne joue pas avec la nourriture. Il est drôle et sarcastique la plupart du temps. Il aime draguer et aime qu'on lui résiste. Il boit et fume beaucoup trop. Il n'est pas le genre à rabaisser les gens ou à se montrer supérieur, c'est juste quelqu'un avec beaucoup de prestance. S'il aimait l'idée d'être populaire, sans nul doute le serait-il, mais ce n'est pas son genre, il n'aime pas plus que cela la foule.
Lorsque l'on vient voir Nathanaël, il reste en retrait, prêt cependant à intervenir si cela s'envenime. Il protège la petite Jude et passe le plus clair de son temps avec elle. Ils vont même jusqu'à s'endormir ensemble lorsqu'ils dorment. Elle est la seule à avoir vu sa chambre universitaire. Il n'y a eu qu'une seule nuit entre eux, lorsqu'il la transformée et depuis c'est plutôt platonique.
Il aime se mêler aux humains, se battre et écouter de la musique à tue-tête en dansant dans son appartement.
Ezechiel est un beau jeune homme. C'est un homme de taille moyenne, brun, dont le teint d'albâtre fait ressortir le bleu si clair de ses yeux. Ses yeux sont ambrés parfois et rouge pourpre lorsque la soif le tiraille depuis trop longtemps.
Il a un physique à la fois attirant et effrayant. La beauté du diable vous connaissez ? Il est fin et musclé comme quelqu'un qui à eut 750 ans pour se forger un corps d'athlète. Sa stature est très droite et très élégante. Il est tatoué de deux petites ailes d'ange dans la nuque. Pourquoi ? C'est encore une fois une référence à son surnom. Le diable dans l'histoire était le plus proche des anges de dieu. Mais il est si proche que dieu le laisse s'exprimer et il est obligé de le bannir par pour péché d'orgueil. Il est alors envoyé sur Terre, chassé du paradis. Il redescend auprès des hommes.
Si l'on en croit les dires, l'homme est bien plus proche du diable que de dieu. Il est bourré de vice, d'imperfections et aime pécher.
La peau d'Ezechiel est glaciale et dure.
Pour ce qui est de sa tenue, Ezechiel a vogué de style en styles avec le temps mais aujourd'hui, il arbore le plus souvent un simple jean surmonté d'une ceinture, ainsi qu'une chemise, un polo ou un t-shirt. Il n'aime pas être trop couvert car cela inhibe ses mouvements et il ne craint pas les intempéries. Ne soyez pas surpris de le trouver presque nu sous une pluie glaciale.
Il aime exécuter les ordres de Nathanaël même s'il lui arrive de les discuter s'il n'est pas d'accord. Il faut une hiérarchie pour diriger un groupe mais Ezechiel sait qu'il peut discuter avec Nathanaël même s'il garde le statut de roi. Ezechiel ne convoite pas vraiment la suite de Nathanaël, pour une seule et simple raison que Nathanaël n'est pas censé mourir. Cependant si cela venait à arriver, Ezechiel aurait bien plus de mal à rester auprès d'Azraël l'héritier du trône.
| ¤¤ | Vous avez peur de vivre parce que vivre c'est prendre le risque de souffrir. |
Chapitre 1.
"Les plus douces joies de mes sens ont été des soifs étanchées."
Gide
Trois jours... Trois longs et malheureux jours.
Moyen-âge
J'ai 23 ans et je vis à Dublin non loin de chez mes parents. Le joug Anglais s'est écrasé sur Dublin. C'est affreux. Nous dormions et tout est arrivé si vite. Ils entre comme des mirages. Ils nous frappent, je me défend, m'enfuie avec pour seule envie, vérifier que ma famille va bien. Je cours, emporté par la folie, la peur et la colère, jusqu'à apercevoir la demeure qui autrefois fut la mienne. Une toute petite bâtisse... J'entre et la première personne que j'y trouve est ma mère, gisant dans son sang. Je recule, évite le sang, tout en me tenant une main devant la bouche, je suis secoué de haut-le-cœur. J'ai envie de vomir devant un tel massacre, son visage est presque méconnaissable. Je continu ma route en silence. C'est à l'étage que j'entends hurler ma sœur. J'accours. Un homme, robuste m'accueille d'un coup de poing dans l'estomac. Il me plaque contre le mûr et les coups pleuve sur mon visage tandis que les cris de ma sœur continu de retentir. L'homme s'arrête de me frapper. Je tombe à moitié sur le sol, assommé par les coups lourds de mon agresseur. Il me relève et me soutient contre le mûr en me hurlant d'ouvrir les yeux pour admirer le travail. Je m'exécute.
Un autre homme est présent. Une montagne lui aussi, je ne suis qu'un gamin. Ce type là tiens ma sœur par les cheveux. Un premier poing vient s'abattre sur sa joue si douce et fragile. Le sang en sort avant que le second coup ne soit porté. Il la jette au sol et lui arrache son chemisier, puis le reste de ses vêtements. Elle hurle de peur et de souffrances, elle comprend se que l'homme souhaite lui infliger. Je le comprend aussi. Ma haine grandit envers ses hommes. Je tente de me défaire de l'étreinte de celui qui s'occupe de moi et hurlant à l'autre de laisser ma sœur mais rien n'y fait, il continu de la maltraiter et moi je me retrouve une nouvelle fois contre le sol puis relevé. On m'oblige à regarder. La seule pensée qui me vient et pour mon père, où est-il, pourquoi n'est-il pas là pour protéger sa famille. Je n'ai pas la force de me défaire de mon bourreau et je dois regarder ma sœur souffrir. L'homme qui la menace là à présent totalement dénudée et se trouve sur elle. Je ferme les yeux de toutes mes forces, au premier hurlement de ma sœur. Son cri déchire mes sens et me fend le cœur. Je sens que je vais devenir fou si cette torture ne s'arrête pas vite. Cela dura une éternité. Les deux hommes me battirent à mort ensuite. Ils s'acharnèrent sur mon corps ne répondant plus de rien puis m'abandonnèrent, dans mon propre sang.
Laissé pour mort... Voilà ce que j'étais. Un laissé pour mort. Je suis resté dans cette pièces allongé dans mon sang, continuant de respirer mais incapable de me sentir vivant, pendant trois jours complet. Ils avaient tué ma sœur en la battant elle aussi. J'avais même étais incapable de me relever pour aller voir son état. J'étais complètement abattu, détruit. Leurs coups m'avait brisés le corps presque intégralement...
Chapitre 2.
"Le bonheur de l'homme ce n'est pas la liberté, c'est l'acceptation d'un devoir."
Gide.
Ce fut une ombre qui m'éveilla de mon coma. Une ombre qui se voulait effrayante et qui s'avérait rassurante finalement. Quelqu'un allait pouvoir m'achever, écourter les souffrances, les arrêter. Mon regard n'avait pas changé, j'avais beau être brisé, la seule émotion qu'il pouvait renvoyer était la colère. Je lorgnait celui que je considérait maintenant comme un bourreau mais aussi comme ma rédemption, il était grand, jeune, d'une beauté peu commune. Son teint blafard contrastait amplement avec le sang qui couvrait le sol de la pièce. Il m'observa comme cela pendant quelques minutes, je ne compris pas. Puis il me sourit délicatement et me ramassa. Il porta ce corps lourd et inutile à présent qu'était le mien. Inutile oui, car complètement brisé. Il m'emmena. Je ne vis pas tout le voyage, je m'endormis paisiblement. Je sentais que je ne pouvais pas être en de meilleures mains.
A mon réveil j'étais dans un lit. Un lit étrangement grand et agréable. Alors que je me levais, je tombais face à un miroir. Celui-ci n'avait rien de choquant si ce n'est qu'il ne me reflétait plus. Je restais à le contempler un court instant comme fasciner par ce miroir qui venait de m'offrir la vérité sur moi-même en un instant. Lui n'avait pas eu un mot à dire pour se faire comprendre. C'était comme s'il ne pouvait mentir.
J'étais donc devenu un être de la nuit. Ça n'était pas pour me déplaire, bien au contraire. Cela avait quelques avantages. J'étais alors immortel et ça n'est pas négligeable. J'enfilais les vêtements qui m'avaient été destinés, posés là sur un fauteuil. Ils étaient très élégant, je n'avais pas été habitué à porter de tels vêtements. Je quittais cette pièce et ne tarda pas à découvrir un long couloir. Je le traversait. Il était très sombre et éclairé par de petit chandelier muraux. J'accédais à une grande salle où trônait un piano. La pièce était absolument somptueuse. Mon père vampirique était là. En le voyant, des flash de ma transformation assaillirent mon esprit. Je n'avait pas souvenir d'avoir tant souffert heureusement. Mes membres étaient encore douloureux mais je me sentais plus fort que jamais. Je me sentais comme transportait par une aura particulièrement agréable. J'avais faim, faim de chair humaine, de sang et de mort.
Celui qui allait devenir mon précepteur se présenta. Il se nommé Nathanaël Stanford. Il m'offrit de quoi éponger ma soif puis m'expliqua tout ce que j'avais à savoir sur ma nouvelle nature. L'apprentissage avait commencé. Entre combat au corps à corps, entrainement à la traque de mes proie... Nous fimes une drôle de découverte...
Mon précepteur m'avait confié avoir un pouvoir particulier. Il me confia par la même occasion qu'il m'avait transformé pour cette même raison. Il aurai en effet pu me déguster mais il avait senti en moi quelque chose de différent, un bon présage. Je devais avoir un don moi-aussi et il faudrait le découvrir. J'avais souvenir de ma vie avant et de mes derniers instants conscient de mon vivant.
Aujourd'hui encore, ces derniers instant me hantent, me laisseront-ils jamais en paix ?
Nous nous battions au corps à corps le jour où mon don fit sa première apparition. Nathanaël avait clairement le dessus sur moi et me balançait de toute part avec ses ondes de chocs, s'était très douloureux. Dans un ultime coup il m'envoya claquer contre un mûr plus violemment que jamais, je tombais sur le sol et eut à peine la force de me hisser sur les bras. Je relevais la tête, j'étais furieux. Mon regard se fit plus dur. Nathanaël fit les premiers frais de mon pouvoir. Il se tordit de douleur. Je lui infligeais une douleur intense par la pensée. Je pouvais donc torturer les gens à distance par la pensée. Un don plus qu'utile et plutôt impressionnant. Sûr que j'aurais voulu l'avoir lors du viol de ma sœur... Peut-être l'avais tant espéré ce don que je l'avais provoqué lors de ma transformation.
J'arrêtais de torturer mon précepteur, le but était atteint, j'avais eu assez de colère pour découvrir mon don.
Il se releva et me sourit, lui aussi avait compris.
Il me questionna sur le comment et je lui répondit que je le faisait par la pensée et que cela provoquait en moi une sorte de jouissance. C'était orgasmique de torturer mon ennemi. C'était comme si toute la souffrance ressentit par mon ennemi se transformait en plaisir insoutenable pour moi.
Les années passèrent et je ne quittais pas une seule fois Nathanaël. Il m'appris à me battre mieux que personne si ce n'est lui peut-être, comme un maitre à son élève. Il m'appris également à contrôler mon don. Nous voyagions énormément.
Des compagnons nous rejoignirent assez rapidement si bien que notre clan s'élargit. Nous vivions cependant dans l'ombre, pour ne pas risquer trop. Les humains ne nous voyaient alors que comme des légendes, il n'était guère nécessaire de les inquiéter plus.
Chapitre 3.
"On se cache d'être brave comme d'aimer."
Gide.
Un soir en Ecosse, je m'éclipsais dans la soirée pour aller cueillir de la bonne chair. J'avais envi de m'amuser. J'entrais dans un bar. Une gamine était là, au mains d'un homme bien plus vieux qu'elle. Il la flattait, lui offrait à boire, la salissait avec ses mains sales. L'homme semblait profiter de cette jeune femme avec allégresse. J'étais installé dans le fond de la salle de ce bar malfamé et avais commandé un scotch. J'observait la scène de mes yeux ambrés, indiquant que je n'avais pas besoin de me nourrir. La jeune femme avait remarqué ma présence, j'en étais sûr. Elle semblait s'abandonner à cet homme robuste et détestablement irrespectueux. Je ne supportais pas cette vision, comme une réminiscence de mon passé douloureux.
Une colère destructrice s'érigea en moi et je torturais l'homme par la pensée. je lui fis d'abord souffrir dans la poitrine avant de porter son atteinte à la tête. L'homme hurla de douleur, se tint le visage, il descendit de sa chaise, se recroquevilla, son visage déchiré par une grimace. Il finit par s'évanouir tant la souffrance avait été intense. Je montais en extase, prenant mon pied tandis que l'homme souffrait le martyr. Je fermais les yeux pour apprécier ce plaisir si impressionnant. Un petit sourire sadique prit place sur mon visage et je finis par rouvrir les yeux.
Je les posais sur la jeune femme. Elle savait qui j'étais et ce que je venais de faire, elle n'aurait pu l'expliquer mais elle le savait. Elle me fixait à la fois fascinée et effrayée. Je me levais et m'approchais d'elle, d'une démarche élégante, digne d'un noble, digne d'un vampire. Je m'approchais jusqu'à ce que nos visages ne soient plus qu'à quelques centimètres. Ma main vint délicatement se poser sur le visage de la jeune femme. Je l'embrassais délicatement tout en déposant de quoi payer ma consommation sur le comptoir. Ma main encore libre vint chercher la main de la jeune femme lentement. Je la saisis, sans la serrer, elle me suivrait de toute façon. Les vampires étaient dotés d'une beauté absolument indécente. Comme s'ils en avaient besoin pour obtenir leur proie... Ezechiel était beau, très beau, un de ces hommes que l'on veut avoir, même si ce n'est que pour une nuit. Il transpire de lui une grande élégance. Il est pourvu de bonnes manières et accorde un très grand respect aux femmes. C'est pour toutes ses raisons que les femmes ne peuvent rien contre lui. Il est attirant et séduisant.
Je l'attirais à l'extérieur et sans un mot l'emmena plus loin. Nous traversâmes ensemble de longues ruelles main dans la main. Je la fis entrer là où mon maitre avait décidé de résider durant notre passage en Ecosse. Je l'emmenait dans mes appartements et lui fit l'amour tendrement, comme si elle était la femme de ma vie, comme si je voulais lui prouver qu'elle méritait mieux que ce rustre qui avait posé plus tôt ses mains indélicates sur son petit corps.
Lors de l'acte, je fis attention de ne pas la blesser. Elle s'endormit sur mon torse. J'en profitais pour m'éclipser. Je souhaitais l'avis de Nathanaël. Celui-ci m'autorisa à la transformer si je m'en sentais proche. Même les vampires peuvent vouloir de la compagnie. Je la voulais pour l'éternité à mes côtés. Je voulais en faire mon immortelle, ma protégée.
Je revins dans la chambre et m'exécuta pendant son sommeil. La douleur réveilla la jeune femme qui s'agrippa de toutes ses forces à moi. Je ne m'interrompit pas, serrant la jeune femme contre moi et lui soufflant que ce n'était qu'un mauvais moment à passer.
Je me chargeais moi-même de son apprentissage. Elle découvrit à son tour son don et Nathanaël me félicita, je venais de faire une bonne pioche.
Je m'attachais à Jude. Jude, c'était son nom. Je la protège plus que personne d'autre. J'ai peur de la perdre et passe le plus clair de mon temps à la surveiller. Elle est souvent à mes côtés, comme un couple normal, sauf que nous ne sommes pas ensemble réellement.
Chapitre 4.
"Le plus beau sommeil ne vaut pas le moment où l'on se réveille."
Gide.
J'étais sur la piste d'une proie lorsque les spectres me sont tombés dessus. Ils m'ont administré un tranquillisant digne d'un éléphant et je me suis effondré, sentant mes membres se paralyser. Je m'endormit. Lorsque je me suis réveillé, j'étais dans une cellule, j'ai tenté d'en sortir par la force mais le métal était trop résistant. Une prison de fer plus épaisse que du blindé. On m'a apporté de quoi me nourrir, je sus alors qu'il connaissaient ma nature. Puis à la seconde visite, un nouveau tranquillisant. Je me suis effondré de nouveau et me suis réveillé cette fois sur un lit, allongé et lesté. J'ai commencé à me débattre et j'ai torturé l'un des hommes présents par la pensée, un autre en profita pour me tranquilliser une nouvelle fois. Je me suis réveillé une nouvelle fois dans ma cellule. J'aurai était bien incapable de dire ce qu'on me faisait dans cet institut. Je ne me sentais pas vraiment différent. Je ne sais exactement combien de temps j'y suis resté. Je perdais la notion du temps avec les doses infernale de tranquillisants qu'on m'administrait. Une explosion eut lieu, le bâtiment prit feu. J'étais complètement gazé et incapable de marcher par moi-même. J'étais comme une épave sur le sol. Je luttais pour me lever, ma cellule venait d'être ouverte en parti par une explosion. J'ai tentais de me hisser sur mes mains mais je suis retombé, trop épuisé pour y arriver seul. C'est à cet instant que j'ai vu l'ombre salvatrice. J'ai relevé la tête pour voir de qui provenait cette ombre. C'était une femme, une jolie femme. Elle dégageait quelque chose de rassurant et pourtant je sentais qu'elle étais mon ennemi ancestrale. Elle m'aida à me relever et me soutint pour sortir de la base secrète. Lorsque nous fûmes en sécurité, elle m'abandonna. Je repris des forces seul là où elle m'avait laissé, au beau milieu du désert du Nevada. Peu à peu le tranquillisant ne fit plus effet. Il faisait jour lorsque je me suis réveillé, j'ai paniqué en sentant le soleil sur ma peau. J'avais le visage brûlant. Je me relevais en furie et commença à me protéger du soleil. Je me suis vite aperçut que le soleil ne m'atteignait plus. C'était comme si je n'étais plus un vampire. Que m'avaient-ils fait ? Serait-il possible que je sois humain de nouveau ? Je devais utiliser mon pouvoir pour le savoir. J'ai marchais pendant plusieurs jour, je me sentais encore trop faible. Arrivé en ville, j'ai cherché de quoi prouver mon appartenance aux vampires. J'ai traqué une proie et je l'ai mordu jusqu'à la vider de son sang. Mes forces en sont revenues de plus belle à mesure que je la mordais. Un large sourire s'étira sur mon visage, j'étais toujours un vampire, j'étais libre et surtout je pouvais sortir le jour à présent, tout comme un humain...
Je revins à New-York pour retrouver celui qui m'avait fait. Il ne sait pas encore que je suis capable de sortir en pleine journée. Je n'ai pas encore trouvé comment le lui annoncer et je ne sais pas comment il verrait ce nouveau don. Comme un vampire évolué, on m'a rendu mutant. Je suis de nouveau à ses côtés, j'ai repris ma place de bras droit et j'ai retrouvé celle qui m'a le plus manqué pendant ce temps. Je ne lui avouerais pas qu'elle m'a tant manqué et que je me suis inquiété pour elle cependant. Elle est si importante à mes yeux, c'est assez effrayant? Nath' est le seul à savoir que je tiens à elle autant, il garde le secret pour moi.
> Pseudo : Stan
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> Célébrité choisie (N'oubliez pas de vérifier si elle est libre :Liste des avatars) : Ian Somerhalder
> Présence sur 7 sur le forum : 7/7
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> Quelque chose à déclarer ? Nop
Dernière édition par Ezechiel C. Milton le Mar 6 Juil - 17:59, édité 1 fois | |
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